La nuit me paru bien longue dans cabane certes vétuste si je le compare à mes logements durant mes séjours habituels, mais tout aussi agréable. Tout était fait, pour que je sois au plus proche de la vie de ces agriculteurs. Leur métier fait partie intégrante de leur vie. La qualité du coton irréprochable, jusque dans mes draps.
En revanche, les moustiques, et autres nuisibles que je ne connais que trop peu pour avoir vécu en ville depuis ma plus tendre enfance, mon rendu la nuit impossible.
Au réveil, quelques démangeaisons, mais aucune petite bête n'a mangé la grosse.
Monsieur Culturak vient alors à ma rencontre, et me dit alors "Mon ami, viens voir les cotons !".
Je restait surpris par son langage. Parfois, il récitait des phrase préconçues, dont l'intérêt était parfois douteux, mais lorsqu'il se délivrait, ses propos étaient parfois difficiles à suivre.
Au réveil, quelques démangeaisons, mais aucune petite bête n'a mangé la grosse.
Monsieur Culturak vient alors à ma rencontre, et me dit alors "Mon ami, viens voir les cotons !".
Je restait surpris par son langage. Parfois, il récitait des phrase préconçues, dont l'intérêt était parfois douteux, mais lorsqu'il se délivrait, ses propos étaient parfois difficiles à suivre.
Bref, il me guida jusqu'aux champs de coton. Cette situation me rappela avec humour Dans la solitude des champs de coton, une pièce de théâtre de 1985, mettant en scène un noir et un blanc concluant un deal.
Il me fit visiter, ces champs de neige, un paysage surnaturel, une douce brise cachant une odeur agréable, surprenante. Je fut étonné durant ce séjour, du nombre d'odeur et de saveurs, qui avait surement disparu de notre société. Il me tenait à coeur de ramener cela avec moi. Je me baissa alors, ramasser une fleur de coton. Quand soudain, Mr Culturak m'à apostrophé à la dernière seconde "Oh non Monsieur, ne fait pas ça ! Rien ne doit être gâché du sol !". Je comprenais alors mon erreur, il est impossible de gâcher un travail, un effort, et parfois même, comme j'allais l'apprendre, un sacrifice.
Arriva alors, l'heure du repas, l'après midi s'annonçait sous une température très élevée.
Quelle ne fut pas ma surprise de voir sur la table, du caviar et du champagne...
Arriva alors, l'heure du repas, l'après midi s'annonçait sous une température très élevée.
Quelle ne fut pas ma surprise de voir sur la table, du caviar et du champagne...
18 mai 2010 à 03:56
Vous m'avez fait revivre des souvenirs très lointains mon ami. L'ambiance si particuliere qui regne en ces lieux fait de vous un autre homme, c'est d'ailleurs depuis ce voyage que j'ai décidé de quitter la grande ville de Clermont-Ferrand pour aller m'installer dans un lieu plus calme.
Ces contrées ont quelque chose de magique.
18 mai 2010 à 06:06
Je voudrais appuyer ce qu'à dit Monsieur Paul. Ce voyage, il y à de çà quelques années maintenant était si incroyable ou même magique comme a put dire Monsieur Paul, nous fait comprendre que le bonheur se cache dans nos terres, cette nature si belle est tout simplement l'essence de nos vies.
Merci de m'avoir fait revivre ces moments merveilleux.